lundi 23 mars 2009


Ben coudon j'avais raison le Canadien va finir par être vendu et puis quitter Montréal y'a que les alliénés qui prétendent le contraire: le fait que l'équipe est sold-out au Forum n'est pas un argument pour affirmer que le club ne peut être vendu, bien au contraire c'est quand l'organisation est profitable qu'on peut la vendre et obtenir le prix fort! Je me souviens il y à une quinzaine d'années j'annonçais sur les ondes de CKOI-FM la vente du Canadien et on me rétorquait que jamais Molson ne se départirait d'une telle mine d'or, alors que Molson ne vendait pratiquement plus de bière au Québec,, car les Québécois au lieu d'encourager le propriétaire de leur équipe en consommant son produit, avaient développé un engouement pour les bières importées, les bières locales, les bières maisons etc... Ce qui affectait dramatiquement le chiffre d'affaires de Molson qui tout compte fait n'avait plus guère d'intérêts à conserver cette équipe... et elle fut vendue! Mais on me rétorqua qu'elle ne partirait jamais du Québec... Et bien je vous le répète: un de ces 4 on va se lever et apprendre que l'équipe a quitté Montréal! En vérité je vous le dis, les jours du Canadien à Montréal sont comptés! Et même si Laliberté achetait le club, les garanties d'une permanence à Montréal ne seraient pas plus assurées... Bien au contraire, connaissant le manque constance des Québécois... qui vivra verra!

dimanche 22 mars 2009

Clo de Gitanie


Clo la gitane sauvage
des nuits étoilées
est de retour d'Afrique
où lire sa poésie
fut un émerveillement
mais l'engeance des québécois
s'est comportée en colonisateur
et a fait honte à l'Hexagone
ainsi qu'au Québec
toujours la même mesquinerie
la même scélératesse
de ces crisses de minables
du milieu littéraire d'ici
on en sortira jamais
mais la gitane fait son chemin
trace ses sentes inédites
sous l'oeil vigilant
de l'
homme approximatif
et moi je récite
nam myoho renge kyo
devant le Goonzon
ad infinitum
rock-desire
ciao!

samedi 21 mars 2009

Légendes urbaines...


Ce soir suis allé avec Virge downtown elle voulait des talons-haut foxy-lady et moi 10 pocket-books de Elmore Leonard. Je termine la lecture de «The killing man» de Mickey Spillane: étrange roman figurant le célèbre Mike Hammer, qui devient de plus en plus «soft» et cultivé: ce héro des nuits dures de NYC dans les années 50-60 peut reconnaître une pièce musicale de Litz à l'oreille! Comme si Spillane voulait «scolariser» son héro hard-boiled afin de narguer les détracteurs de son oeuvre! Spillane comme Kerouac a été et est encore (comme Kerouac) occulté, méprisé par l'intelligentsia littéraire américaine... Qu'à cela ne tienne, ce sont deux génies de la langue et de l'écriture et qui ont changé, chacun à sa manière, le cours de l'histoire littéraire universelle! Bref, moi autant que Max-Allan Collins (CSI...) sommes des inconditionnels de Spillane... et de Kerouac il va sans dire!

vendredi 20 mars 2009

Cowboy blues



love me tender
dans un terrain vague
où les trains d'antan
rouillent sur rails
et déraillent
dans la nuit en sang
des étoiles filantes
comme mortes-nées
sous les néons las
et la gitane sauvage
rit dans les lignes de demain
quand je la rêve
au Motel Satori
sous les arcanes du nil
le maskentape dans les rideaux


Que reste-t-il de nos amours
que reste-t-il de nos déviances
que reste-t-il de nos dérapes
que reste-t-il de désordres
que reste-t-il de nos délires
que reste-t-il de nos mensonges
que reste-t-il de nos espoirs
que reste-t-il et ainsi de suite
ad infinitum jusqu'à la fin des temps
et le temps c'est de l'argent
et de l'argent c'est sueur et sang
et que le diable emporte le reste
et le bon dieu en même temps
moi je retourne en enfer
par la porte d'en arrière
j'ai toujours su tout
personne ne m'a cru
voyant des pauvres
visionnaire sans mot
que reste-t-il
on s'en crisse
down à marée haute
high à marée basse
paradoxal rockeur
j'aime les vieux chars
avec les gros moteurs
les muffleurs hollywood
les dés au miroir
jamais le hasard un coup aboli
une fille de coke analphabète
dans une chambre de motel cheap
nuits blanches maculées de honte
la suite au prochain épisode
parole d'albert huquin
jsute pour le fun...

jeudi 19 mars 2009


Suis allé au centre-ville avec Virginie, chez Urban Outfitter: achats de t-shirts rock, livres hips etc... De retour home: tv, lecture de «Devil in a blue dress» de Walter Mosley! J'ai cet après-midi acheté 12 titres de Mosley, constituant la série complète des Easy Rawlins, romans noirs, hard-biled, version black de la série Harry Bosch de Michael Connelly: histoires se déroulant à Los Angeles... Mes auterus de prédilection dans le genre polar américain sont: John A. MacDonald, Ross Macdonald, Dashell Hammet, Raymond Chandler, Marcia Muller, Bill Pronzini, James L. Burk, Brett Halliday, Patricia Highsmith, Ian Rankin, James Cain, ... Connelly, Mosley, Kaminski, Goodis, Leonard, Parker, Westlake, Crumley, Stout, et tant d'autres encore! Que peut-il y avoir de mieux que de lire un polar en écoutant du jazz...

mercredi 18 mars 2009

Absurdités


quelle vie absurde
après Bashung
c'est Natasha Robinson
morte à 41 ans à New-York
après une chute en ski
à Tremblant Québec
pendant que Liam Neeson
tournait un film à Toronto
je l'avais tellement aimé
dans «Taken» comme père-héro
well well
et puis dans un autre ordre d'absurdité
y'a Carbonneau qui ne comprend pas
pourquoi il a été congédié
ça explique pourquoi il l'a été non?
no one here gets out alive!
nam myoho renge kyo...